La tenue de registres
repertoriant les naissances, mariages et décès a
été rendue obligatoire par l'édit de Villers-Cotterets en 1539.
Ces registres étaient tenus par l'Eglise dans les paroisses.
Ce n'est qu'en 1792, que Napoléon Ier transféra la tenue de ces
registres aux officiers d'état civil dans les mairies.
Registres paroissiaux (jusqu'en 1792)
Actes de baptêmes
Actes de mariages
Actes de sépulture
Les actes sont inscrits dans les registres dans l’ordre chronologique
des évènements.
Pas de règle de tenue des registres
Registres d'état civil (à partir de 1792)
Actes de naissances
Actes de mariage
Actes de décès
Ces trois catégories d’actes sont inscrits dans des registres
différents, et dans l’ordre chronologique des évènements.
Période révolutionnaire : 1 feuille pré-imprimée par acte
A partir de 1806 : identité personne ou couple en marge, mentions
marginales (mariage, décès) inscrites sur l’acte de naissance
Tables annuelles
En fin d’année, une table alphabétique récapitulative est ajoutée à la
fin de chaque registre.
Tables décennales
Tous les 10 ans, des tables alphabétiques récapitulatives des tables
annuelles des 10 années sont créées.